Lesson 6: Un caractère solide, fondement du leadership

Le moniteur collectera les paragraphes écrits par les étudiants dans le cadre des activités de la leçon précédente. Il pourra aussi sélectionner quelques paragraphes de l’activité A pour en discuter avec la classe.

Chaque étudiant doit pouvoir écrire de mémoire les cinq phrases de synthèse. Quelques minutes suffisent pour la réalisation de cette activité. Le groupe discutera par la suite les énoncés brièvement afin de stimuler la compréhension de tous.

La conviction est la certitude de la vérité. Les convictions sont des croyances solides en rapport à la réalité. La conviction est cruciale dans la prise de décision, et inspire la plupart des actions des hommes.

La conviction ne relève pas uniquement du domaine de la religion. Il est une forme de conviction dans le cas d’un vendeur qui croit fermement en la qualité et l’utilité de son produit. Cette conviction le rendra plus capable d’influencer les clients à se procurer de son produit.

Un groupe de gens ont perdu leur chemin en plein désert. Ils se mettent à discuter de la situation et des options à considérer. L’un d’entre eux est plus convaincant dans son explication. Il les pousse à croire aussi qu’il sait ce qu’ils doivent faire. Cet individu devient automatiquement le leader.

Une conviction peut se révéler fausse. Il est possible de croire à l’erreur. Cependant même une conviction erronée peut temporairement constituer une source de pouvoir. Par exemple, si quelqu’un croit vraiment savoir le chemin menant quelque part, les gens le suivront à cause de sa conviction. Sauf que ces personnes finiront par être déçues et arrêteront de le suivre et de lui faire confiance.

Le leadership a pour fondement la conviction. Aucun leader ne peut conduire les autres s’il n’est pas à même d’affronter la réalité et de proposer la réponse appropriée à cette réalité. Le slogan du leader est: «Voici la réalité, agissons de la sorte.»

Quiconque se trouvant dans un bâtiment en feu où résident un nombre important de locataires, sait que tous les occupants doivent connaître cette vérité et y réagir. Cette personne a la forte conviction qu’elle doit communiquer une telle vérité. Une telle information incitera tous ceux qui y croient à l’action. Il s’ensuit que cette personne est le leader du moment, parce qu’elle influence des gens en communiquant sa conviction. Toutefois, elle cessera de l’être à moins que les gens croient aussi qu’elle sait ce qu’ils devraient faire. Le leadership de cet individu se termine là où sa conviction atteint sa limite.

Chacun cultive ses propres croyances au regard de sa propre vie, de l’économie, de la santé, de la politique, de l’histoire, des découvertes scientifiques, de la culture, de l’éthique et de la religion. Et les décisions que l’on prend ne sont pas indépendantes de ce que l’on croit être vrai.

Les convictions peuvent être fausses lorsque les croyances ne se fondent pas sur la vérité. Les convictions justes sont toujours compatibles à la vérité révélée de Dieu.

L’accession d’Hitler à la tête de l’Allemagne fut le résultat d’une énorme campagne sur la restauration de la grandeur nationale. Durant cette campagne, Hitler convainquit les Allemands qu’ils étaient une race supérieure dont la mission consistait à dominer le monde. Même certaines églises d’Allemagne le soutenaient comme un messie. Il avait promis de fonder un empire qui durerait 1000 ans.

Sous les ordres d’Hitler, des millions d’hommes et de femmes furent massacrées en raison de leur appartenance ethnique. Mais Hitler ne pouvait commettre tous ces crimes sans la complicité criminelle d’une partie de la population qui accepta de croire en ses idées.

Plus de cinquante millions de gens ont été tués dans cette guerre déclenchée par Hitler.

Le leadership d’Hitler avait la force de la conviction, car il croyait qu’il avait raison. Ce que bon nombre de ces contemporains croyaient également. Mais les convictions d’Hitler s’enracinaient dans le mensonge.

Pour le chrétien, certaines vérités sont plus essentielles que d’autres, telles que : l’existence et la nature de Dieu, la création du monde, l’image de Dieu dans l’homme, la destinée éternelle de l’homme, la réalité du péché et du mal et la provision du salut.

Pour cela, la vérité de l’évangile constitue une source de motivation pour l’évangéliste ; elle dicte la conduite de l’Église et oriente le ministère.

Pour le chrétien, la vérité de la Parole de Dieu et sa volonté pour l’homme doivent servir de base non seulement aux organisations chrétiennes, mais aussi pour toute institution. Un chrétien ne devrait pas se trouver à la tête d’une entreprise dont les valeurs sont contraires à la Parole de Dieu.

Une conviction solide est indispensable à un leadership efficace. Considérez tous les grands leaders chrétiens que vous connaissez soit par le biais de l’Écriture ou l’histoire séculière. Essayez de les imaginer sans leur conviction. Vous vous rendrez compte qu’ils n’auraient jamais pu devenir les leaders qu’ils étaient même avec leurs capacités exceptionnelles.

Pour chacun de ces leaders ayant marqué l’histoire du monde, demandez à un étudiant de le présenter brièvement et demandez à la classe d’imaginer ce leader sans conviction forte: Moïse, Josué, Paul, Martin Luther, Abraham Lincoln, Mahatma Gandhi, Winston Churchill, Et Billy Graham (Ces leaders étaient tous très influents, mais ils n’étaient pas tous des leaders chrétiens).

La conviction donne lieu à une compréhension particulière de la réalité et de ce qui doit être fait. Quiconque privé de conviction ne pourra jamais être un leader efficace sur le long terme même s’il est un excellent orateur et un bon manager.

La conviction doit être considéré comme le guide ultime, mais non comme la fin du voyage. C’est elle qui contraint l’individu ou le groupe à réussir. De ce fait, il ne faut jamais compromettre sa conviction au profit du succès.

La conviction ne doit être ni apparente ni passagère. Celui qui est prêt à réviser sa conviction pour pouvoir défendre des croyances différentes, ne pourra être un leader efficace.

Le leader doit être connu par sa passion pour la vérité. Étant motivé par sa conviction, il s’adonne à une quête constante de la vérité, préférant les critiques aux flatteries qui le retiennent dans l’erreur.

La conviction fortifie la personnalité plus que toute autre vertu. Même une personne qui fuit naturellement les affrontements, les discussions, et les critiques peut devenir un leader si elle a de solides convictions.

Par ailleurs, la conviction permet au leader d’accéder à un niveau d’intelligence supérieure d’une manière qu’elle n’aurait pas pu autrement. Grâce à «l’intelligence de la conviction»[1], de nombreuses décisions sont prises par réflexe lorsqu’une situation délicate aux options multiples se présente. Cette intelligence permet d’identifier la meilleure option plus rapidement. Une personne sans conviction est aussi inapte qu’un ignare ou un insensé.

► Connaissez-vous personnellement un leader remarquable? En quoi sa conviction constitue-t-elle une base solide à son leadership ?

Daniel devait prendre une formation en leadership en compagnie de quelques juifs et d’autres exilés dans un empire étranger.

Il était crucial pour Daniel de soigner son comportement et de plaire au chef des eunuques, mais ses convictions furent mises à l’épreuve quand il réalisa que la nourriture servie était impure pour un Juif. Plus d’un se trouvant dans une situation similaire se seraient débarrassé de leur conviction si elle aurait représenté une menace à leur statut.

Le chef des eunuques avait déjà vu en Daniel une intelligence incomparable. Daniel s’approcha de lui avec tact, fit sa demande humblement et proposa un moyen d’essayer quelque chose de différent qui n’attirerait pas d’ennui sur le responsable. Dieu honora la fidélité de Daniel et lui donna un grand succès (Daniel 1: 8-15).

[1] Expression utilisée par Mohler dans son livre intitulé : The Conviction to Lead.

L’application de la conviction de manière uniforme tant qu’aux actions qu’attitudes produit l’intégrité.

L’intégrité personnelle est le fait d’être en accord avec soi-même, pour agir selon ses croyances et ses valeurs.

[1]

Sans l’intégrité, le leader crée des fausses espérances qu’il ne pourra satisfaire.

Il est quand même possible d’obtenir, sans être intègre, une réponse immédiate des gens s’ils pensent le contraire. Mais il faut absolument être intègre pour pouvoir continuer à diriger.

Un manque d’intégrité se traduit par une absence de cohérence. Quand les actions et les attitudes contredisent les soi-disant valeurs d’un leader, ce dernier est loin d’être intègre.

Le leader chrétien malhonnête ayant des priorités égoïstes, qui cherche uniquement l’amitié de ceux qui tolèrent ses désirs impurs et ses péchés secrets, n’est pas intègre.

Un tel leader ne fera d’afficher une fausse image de lui-même, lui permettant de camoufler la contradiction frappante entre sa vraie nature et ce qu’il prétend être.

Acan croyait que son péché était secret et personnel. Il ne s’attendait pas à ce que cela ait affecté quelqu’un d’autre. Mais son péché entraîna la mort de 36 hommes israélites, puis celle de toute sa famille (Josué 7. 24-26).

Il n’existe pas de peccadilles quand il s’agit d’un chef. Tout péché commis par un dirigeant affecte beaucoup d’autres personnes. Quelques raisons pour lesquelles les conséquences du péché d’un leader affectent les autres:

• Il n’est plus en mesure de garder sa pureté et son pouvoir spirituel ;
• Il reçoit de moins en moins de bénédictions de Dieu sur son ministère;
• Son discernement est affaibli ;
• Ses priorités renversées.

Ces faits réduisent l’efficacité de son leadership et affectent négativement les gens qu’il dirige.

[1] Si vos pensées vos paroles et vos actions sont en harmonies, vous êtes une personne heureuse. 
- Mahatma Gandhi

L’application de la conviction de manière systématique aux actions et aux attitudes produit l’intégrité.

La nature d’une personne imprégnée de conviction est son caractère.

John Maxwell décrivant l’importance du caractère a dit : « Une personne doit être plus distinguée à l’intérieur qu’à l’extérieur. » Il a ajouté en disant: « Ce principe est vrai pour celui dont le caractère surpasse en grandeur la réputation »[1].

« Les gens s’adhèrent souvent à des causes et s’engagent à soutenir de grandes idées en suivant les individus qui personnifient ces idées. Mais pour que cela arrive, ils doivent trouver une incarnation de l’idée en chair et en os afin de s’y adhérer » (Martin Luther King).

Cette déclaration de King démontre l’importance du caractère. Un chef doit croire en sa propre cause au point que cette dernière ne fait qu’une avec sa nature. C’est le genre de leader qui motive les autres à prendre un grand engagement.

Parfois, un leader faible de caractère veut qu’on le suive tout en s’opposant aux critiques adressés à l’endroit de sa vie privée. Il pense pouvoir être immoral et leader en même temps.

[3]

Les gens observent le leader et sont influencés davantage par son exemple que par ses discours. Certes, les discours ont leur importance, mais s’ils sont en contradiction au mode de vie du leader, les auditeurs seront donc dans la confusion la plus totale.

Le caractère personnel du leader est le facteur principal qui encourage les autres à embrasser sa vision. Ils peuvent ne pas comprendre toutes ses raisons ou partager ses compréhensions de la réalité, mais s’ils font confiance à son caractère, ils le suivront.

► La crédibilité implique qu’une personne est digne de confiance. Qu’est-ce qui rend donc une personne crédible?

Parfois, un dirigeant prêche des croyances et des valeurs qu’il n’incarne pas. Il en tire de grands profits de l’obéissance de ses ouailles, s’il s’agit surtout des valeurs comme le service et l’honnêteté. Tout leader aimerait que les gens affichent de tels comportements altruistes, même si sa priorité est d’en bénéficier. Mais il est impossible d’enseigner efficacement des valeurs que l’on ne démontre pas.

Par contre, le leader qui incarne les valeurs qu’il professe attirera les bonnes personnes.

Un caractère basé sur une conviction solide est tellement salutaire qu’il peut transformer en un leader efficace une personne dépourvue de capacités naturelles. Il parait que Moïse, par exemple, n’était pas quelqu’un de courageux ou un leader né. Mais sa relation avec Dieu et l’amour pour le peuple constituaient ses principales forces qui l’ont rendu différent des autres. Son caractère s’enracinait profondément dans ces valeurs.

Aaron

Aaron était le premier souverain sacrificateur en Israël au côté de Moïse son frère, le leader principal. Pendant que Moïse se trouvait sur le mont Sinaï recevant la loi de Dieu, le peuple vint vers Aaron pour lui demander un dieu.

Sachant que le peuple voulait une idole visible, Aaron céda à leur demande en faisant le veau d’or (Exode 32. 4). En raison de sa faiblesse, le peuple tomba dans l’idolâtrie, accordant le mérite de l’exode à l’idole. Des milliers de personnes furent tuées par le jugement de Dieu.

Aaron n’était pas apte à diriger en raison de la débilité de ses convictions. Il suivit une opinion populaire pour garder son influence, même quand il savait qu’elle était fausse.

Adam

En cédant à la tentation du serpent, Ève s’empara du fruit défendu et en mangea. Puis elle en donna à son mari qui était auprès d’elle (Genèse 3: 6).

Le récit biblique de la chute de l’homme rapporte la conversation entre la femme et le serpent. Pourquoi Adam gardait-il le silence? La Bible dit qu’il a choisi de pécher, même s’il savait parfaitement la vérité. Il n’a pas été séduit au même titre qu’Ève.

Adam écouta la tentation et décida d’y céder en laissant la décision à Ève. Il était responsable de commander, mais il choisit de ne pas le faire en ce moment parce qu’il voulait se permettre de braver l’interdit.

Lorsqu’un leader de faible caractère a l’intention de bafouer la justice, il est toujours disposer à céder aux autres son droit de décision pour se garder à l’abri des critiques lorsque le mal est fait.

Un iceberg est une masse de glace dont la majeure partie est immergée dans l’eau. La partie émergée ou visible de l’iceberg n’en est qu’une infime partie. Cette partie visible peut être comparée à la performance d’un leader et la partie immergée à sa personnalité. Le caractère est l’élément le plus considérable de la personnalité d’un individu. Ironiquement, nombreux sont ceux qui cherchent à améliorer leur performance tout en négligeant les défauts de leur caractère. Ils peuvent même compromettre leur caractère au profit de la performance.

Beaucoup de leaders connaissent au début de leur carrière une période difficile. On a tendance à minimiser l’importance de cette période de vaches maigres en raison de l’insignifiance des réalisations accomplies. Mais cette période joue un rôle déterminant dans l’avenir du leader en façonnant sa personnalité et son caractère. Le jeune leader doit profiter de ces périodes de difficultés et de frustrations pour développer son caractère.

Lorsque le leader préfère d’ignorer les défauts de son caractère, ses collaborateurs se trouvent dans l’obligation de fermer les yeux sur ses défauts. Le roi Saül refusait d’admettre ses défauts, et ses partisans l’imitèrent. Il ne voulait pas affronter ses erreurs et ses échecs personnels.

Les défauts de caractère ont un double impact négatif sur le leadership. D’abord, un individu de caractère déplorable ayant une compétence exceptionnelle en leadership, finira par devenir le leader principal mais les gens le suivront à contre cœur (les dirigeants autoritaires et impitoyables – comme Staline - démontrent ce principe). En second lieu un mauvais caractère affecte le leadership en dégradant la compétence du leader. Certaines imperfections ont cet effet nocif. Le leader indiscipliné, incohérent, grincheux, colérique et infidèle à ses engagements ne sera pas à même de garder les meilleurs collaborateurs ni motiver les autres à faire mieux.

Selon les enseignements de Gandhi, il y a sept choses qui nous détruiront. Une analyse en profondeur de ces causes de destruction rend évident le fait que chacune d’entre elles représente une fin accomplie en ayant recours à des moyens louches et indignes.[2]

► Laissez les étudiants discuter des résultats de chacun des éléments suivants.

• La richesse sans travailler
• Le plaisir sans conscience
• La connaissance sans caractère
• Le commerce sans moralité
• La science sans humanité
• Le culte sans sacrifice
• La politique sans principe

Le leader de faible caractère peut devenir hypocrite dans ses interactions sociales (fausse sympathie) et dans son leadership spirituel (simulation du zèle spirituel et de l’émotion), un professionnel selon les standards du monde (cherchant un statut mondain), un manipulateur (faisant usage de mensonge pour pousser les gens à agir), et paresseux dans le ministère (refus de développer de nouvelles compétences).

[1] Maxwell, Learning from the Giants, 40.

[2] Robert Greenleaf, Servant Leadership: A Journey into the Nature of Legitimate Power and Greatness, 8.

[3] L’engagement est l’élément qui transforme une promesse en réalité.
- Abraham Lincoln

► Est-ce que vous vous souciez de votre réputation? Pourquoi?

La réputation d’une personne est l’opinion du public à son sujet. Le caractère d’une personne se résume à sa vraie nature. Parfois, la réputation d’une personne est meilleure ou pire que son vrai caractère.

Certains affirment que la réputation ne sert à rien, car seul le caractère importe. Mais la réputation est l’opinion que les gens se font du caractère d’un individu. Si les gens pensent que son caractère est déplorable, il ne pourra pas être leur leader même s’ils ont tort.

Un dirigeant doit être prudent quant à sa réputation. Il ne doit pas nourrir des doutes sur son caractère. Il peut penser que sa réputation est intacte. Mais c’est faux. Certaines personnes s’amusent à ternir la réputation d’un leader, et nombreux sont ceux qui sont prompts à croire une accusation pour avoir assisté à la chute de tant de dirigeants malhonnêtes.

Le leader doit être prudent dans ces deux domaines : la gestion de l’argent qui n’est pas le sien et sa relation avec le sexe opposé. Ce sont deux types d’accusation qui se propagent rapidement, qui se laissent croire facilement et qui détruisent instantanément la réputation du leader.

L’apôtre Paul était responsable apporter de l’argent d’une église à une autre. Il demanda à des représentants de l’église donatrice de l’accompagner pour des raisons de transparence et d’honnêteté. Il ne nous suffit pas d’être honnêtes devant Dieu. Il faut adopter des plans d’action devant démontrer à tous notre transparence.

► Énumérez quelques actions pratiques que vous pouvez accomplir afin de conserver votre réputation?

Permettez à certains étudiants de partager avec la classe ce qu’ils vont faire pour changer leurs objectifs ou leurs actions en raison de cette leçon.

(1) La conviction est la certitude de la vérité.

(2) Une conviction solide est nécessaire pour un leadership solide.

(3) L’application de la conviction uniformément aux actions et attitudes produit l’intégrité.

(4) Le leader doit incarner les croyances et les valeurs qu’il veut promouvoir.

(5) La réputation est l’opinion du public sur votre caractère.

Activité A : En un paragraphe résumez un concept vital étudié dans cette leçon. Expliquez l’importance de concept. Quels en sont les avantages ? Quels en sont aussi les désavantages si ce concept est négligé?

Activité B : Expliquez comment vous allez pratiquer les principes étudiés dans votre vie. En quoi cette leçon a-t-elle modifié votre objectif ? Qu’allez- vous faire pour modifier vos actions en conséquence ?