Lesson 11: La communion ou le repas de Seigneur

Le moniteur ou des étudiants sélectionnés raconteront brièvement l'histoire de la délivrance d'Israël en Egypte. Laissez plusieurs étudiants y ajouter des détails. Exode 11-12 parle de la première Pâque.

La Pâque est une fête juive dont l’origine remonte à la nuit ou la nation d'Israël a laissé l’Egypte. Cette fête ne commémorait pas uniquement la délivrance en l'Egypte; c'était la célébration de la miséricorde de Dieu en faveur d’Israël quand Il a tué des Égyptiens, mais a épargné les maisons des hébreux (Exode 12:27). Par conséquent, la fête était un symbole de la miséricorde de Dieu envers son peuple.

Après la délivrance de l'Egypte, les Israélites devaient célébrer la Pâque chaque année. En ce jour, Dieu leur a donné un cérémonial incluant une nourriture spéciale et un usage cérémoniel du sang.

Cet événement préfigurait le salut. Cela ne veut pas dire que ceux qui ont été délivrés ce jour-là soient tous pardonnés de leurs péchés et soient en bonne relation avec Dieu. Cependant, ils ont été délivrés de l'esclavage et ils étaient bénéficiaires de la miséricorde de Dieu. De plus, l’usage du sang était l’une des exigences de Dieu. Tous ces détails font de cet événement une illustration du salut que nous avons eu en Christ. Pourtant, la plupart des Israélites ont célébré la Pâque sans se rendre compte de sa pleine signification.

Jésus en a expliqué la signification à ses disciples lors de sa dernière Pâque avec eux. Et il a institué une cérémonie que l'Église doit pratiquer quand il a dit: «Faites ceci en mémoire de moi» (Luc 22:15-20). Le nom de cette cérémonie varie suivants les églises : «le repas du Seigneur», « la communion», « l’eucharistie » ou « la cène.»

Paul nous enseigne que cette coutume doit être pratiquée régulièrement par l'Église jusqu’au retour de Jésus (1 Corinthiens 11:24-26).

Il est nécessaire de noter que les membres de l'église primitive avaient d’autres périodes de festivité et de fraternité que l’on ne doit pas confondre avec la communion. Par exemple, lorsque la Bible dit que les premiers croyants rompaient du pain de maison en maison, nous devrions nous rappeler que le terme rompre le pain se réfère tout simplement à prendre un repas ensemble (Actes 2:46). Car, les disciples étaient tous les jours ensembles, mangeant comme des frères d’une maison à l’autre. L'église avait aussi des “fêtes d’agape” qui n'étaient pas comme la communion (Jude 12).

► Un étudiant devrait lire Jean 6:47-58 pour le groupe.

La foule était troublée lorsque Jésus a dit qu'il était le pain du ciel, et que les gens avaient besoin de manger sa chair et de boire son sang.

► Qu'est-ce que Jésus a voulu dire par cette déclaration?

Dans le verset 51, Jésus a dit qu'il s’est donné lui-même pour que le monde ait la vie. A ce propos, il parlait de son sacrifice expiatoire. Est-ce pourquoi il a comparé son sacrifice à un repas. De même qu'une personne a besoin de nourriture pour la vie physique, elle doit accepter le sacrifice de Christ pour avoir la vie éternelle.

► Un étudiant devrait lire Luc 22:15-20 pour le groupe.

Au cours de sa dernière Pâque avec les disciples, Jésus a dit que le pain et le vin étaient son corps et son sang. Il parlait ainsi, car il allait donner sa vie pour leur salut.

Hébreux 10:1-10 nous dit que les sacrifices de l'Ancien Testament étaient des symboles de l'expiation que Jésus allait accomplir.

► Pourquoi Jésus avait utilisé du pain et du vin pour la communion?

Il peut y avoir plusieurs raisons.[1] Le pain était l’alimentation de base, comme il a été dans beaucoup d’autres régions du monde. Le pain ne représente pas seulement de la nourriture en général, mais il symbolise la vie également, car la nourriture est nécessaire à la vie. Le vin était la boisson la plus commune en ce temps après l'eau. Et il représente la célébration aussi.

De nos jours, des églises utilisent le vin pour la communion même si elles ne le consomment pas à aucun autre moment de la durée. D’autres églises utilisent du jus de raisin parce qu'elles ne veulent pas encourager l’utilisation de boissons alcoolisées. Le jus de raisin, qu’il fût frais ou fermenté, a été considéré comme du vin au premier siècle.

Certaines églises ont changé complètement leurs manières de manger et de boire la communion. Nous devrions faire attention à l'utilisation de quelque chose de différent pour la communion. Les Mormons utilisent, par exemple, du pain et de l’eau, mais ils ne croient pas dans la doctrine chrétienne de l'expiation.

Il se peut que dans certaines régions du monde l’alimentation de base ne soit pas le pain et le vin, ou ces derniers peuvent ne pas être très communs. Dans ce cas, l'église peut dans la prière considérer des options différentes.

[1] Image: “The Lord's Supper” taken by Allison Estabrook on Oct. 14, 2022, retrieved from https://www.flickr.com/photos/sgc-library/52476662295/, licensed under CC BY 4.0.

L'Église Catholique Romaine et l'Église Orthodoxe Orientale croient que le pain et le vin deviennent littéralement le corps et le sang de Jésus. Il y a d’autres églises qui croient que son corps et son sang sont d'une façon ou d'une autre réellement présents dans le pain et le vin. Mais, la plupart des églises protestantes croient que le pain et le vin symbolisent le corps et le sang du Christ sans que ces derniers en soient présents physiquement.

[1]

Quand Jésus a servi la Pâque à ses disciples, Il a dit : « ceci est mon corps . . . ceci est mon sang. » Jésus était encore avec eux physiquement. Son corps et son sang n'avaient pas encore été donnés en sacrifice. Il paraît évident qu'Il a voulu dire que le pain et le vin étaient des symboles de son corps et de son sang, et non son corps et sang d’une manière littérale. Le pain et le vin utilisés dans la communion devraient être considérés comme des symboles.

Le salut est obtenu par le sacrifice de Jésus une fois pour toute. Sa mort ne se produit pas à maintes reprises. Puisque la communion est un acte d'adoration et de foi qui se base sur un événement unique, la mort de Jésus, il est futile de croire que le pain et le vin soient littéralement le corps et le sang de Jésus.

Puisque les catholiques romains croyaient que l'église avait le contrôle sur la distribution littéral du corps et du sang du Christ, beaucoup d'entre eux pensent que l'église contrôle ceux qui peuvent être sauvés. Ils pensent qu'une personne ne peut pas être sauvée si le prêtre lui refuse la communion. Des millions de gens pensent qu'une personne est sauvée en recevant la communion.

La position adéquate sur la communion est qu’elle reste un acte d'adoration symbolisant la mort du Christ pour nous, et au cours duquel Dieu donne la grâce en réponse à la foi du participant. La communion est pour ceux qui sont sauvés et leur salut ne dépend pas de la disponibilité de la communion.

► Pourquoi nous ne devrions pas penser que Jésus a voulu dire que le pain et le vin étaient littéralement son corps et son sang?

► Pourquoi la croyance selon laquelle la communion est littéralement le corps et le sang du Christ n’est pas nécessaire au salut?

[1] « Durant la Cène, on partage, s’approprie et mange le corps du Christ d’une manière céleste et spirituelle seulement. Et le moyen par lequel, on partage et mange le corps du Christ dans la Cène est par la foi. »  
- (Articles of Religion of the Methodist Church).

La communion est souvent appelée un moyen de grâce. Dieu l'a conçu pour être un moyen de grâce quand on la prend avec foi dans l'expiation du Christ. Un chrétien doit obéir à Dieu, en ce sens, en observant les commandements des Saintes Ecritures.

Si une personne la reçoit sans la foi, elle ne lui apporte aucune grâce.

Si une personne la reçoit sans révérence à sa signification, elle attire une condamnation sur elle-même (1 Corinthiens 11:27-29).

Comme le baptême, la communion n'est pas essentielle au salut au même titre que la repentance et la foi. Elle est un acte d'obéissance et d’expression de foi. Un chrétien ne cesserait pas d'être un chrétien s'il n'a pas accès à la communion.

► Est-il nécessaire qu’un chrétien reçoive la Communion? Ne répondez pas seulement par “oui” ou “non.” Expliquez.

[1]

L'Apôtre Paul a corrigé la mauvaise pratique des Corinthiens lorsqu’ils prenaient la communion. Les directives qu'il leur a données sont aussi valables pour nous.

► Un étudiant devrait lire 1 Corinthiens 11:20-34 pour le groupe. Quelle a été cette mauvaise pratique des Corinthiens?

Les chrétiens de Corinthe apportaient leur nourriture et préparaient un repas pour le dîner du Seigneur. Chaque personne mangeait sa propre nourriture sans la partager. Ainsi, des gens mangeaient trop, et d’autres avaient encore faim. Certains buvaient tant, au point de devenir ivre. Chacun prenait son repas sans attendre les autres pour commencer la cérémonie en même temps.

► Quels sont les ordres spécifiques que Paul leur a donnés?

Paul leur a dit de ne pas faire de ce moment un banquet. Les églises avaient des périodes de fêtes et de rencontre fraternelle, mais elles ne devraient pas les faire coïncider à la communion. Il leur a demandé aussi d’attendre les uns les autres pour commencer la Cène ensemble.

Puis, Paul examine la manière que Jésus a institué la Cène pour l'Église. Jésus, après avoir donné le pain et le vin, expliqua leur signification. Donc, Il faut que celui qui participe à la table du Seigneur le fasse avec révérence, en se rappelant ce que ce qu’il fait est la sainte communion.

Paul a dit qu'une personne devrait s'examiner pour s'assurer qu’elle ne prend pas la communion “indignement.” Certains interprètent cette déclaration pour dire qu'une personne ne devrait pas prendre la communion à moins qu'elle sache que sa vie plaît à Dieu dans chaque détail. Ce n'est pas ce que dit le verset. L'apôtre parlait de la manière de prendre la communion. Une personne est condamnée si elle la reçoit d’une manière irrévérencieuse ou insouciante.

C'est une bonne chose de prier ensemble pendant la communion. Différentes personnes pourraient s’arranger pour conduire une prière durant le service. L’assemblée peut aussi chanter ensemble à des moments variés. Le service devrait être solennel et ordonné. Ce n'est un pas moment d’allégresse bruyante et plein de spontanéité. C'est un moment de méditation sur le sacrifice que Jésus a fait pour notre salut.

[1] “Les moyens de grâce sont les canaux divinement inspirés à travers lesquels, les influences du Saint-Esprit sont communiquées aux âmes des hommes”
- (Wiley & Culbertson, Introduction to Christian Theology).

► Qui devrait être autorisé à recevoir la communion?

Jésus a donné la Cène à ses disciples et leur a dit de la manger ensemble, donc nous savons que la communion est pour les chrétiens. Par conséquent, elle ne devrait pas être donnée à une personne d’une autre religion. Celui qui adore d'autres dieux adore des démons. Il est donc incapable d’adorer le Christ. (1 Corinthiens 10:20-21).

Si une personne vit ouvertement dans le péché et ne s'est pas repentie, la communion ne devrait pas être donnée à lui. Recevoir la communion est un témoignage que nous avons été identifiés avec la mort du Christ. Une personne qui pèche délibérément n'a pas ce témoignage.

Celui qui pratique au vu de tous la fornication, l’idolâtrie ou l'ivresse n'est pas un Chrétien (1 Corinthiens 6:9-10). La Bible nous défend à nous fraterniser avec une personne qui commet ces péchés et qui professe d’être un chrétien (1 Corinthiens 5:11). Par conséquent, ce ne serait pas juste de lui servir la communion.

Si un membre a péché et a refusé la correction de l'église, il sera considéré comme un païen (Matthieu 18:17). Dans ce cas, il ne devrait pas recevoir la communion.

La communion exprime l'unité spéciale des chrétiens. Le terme “communion” en soi implique cette signification. L'apôtre a dit que dans la communion nous démontrons que nous sommes un corps spécial (1 Corinthiens 10:16-17). De ce fait, si une personne est connue pour être une pécheresse insouciante, elle ne peut pas partager cette unité.

Le pasteur est responsable de servir la communion aux chrétiens, mais il n'est pas responsable d'enquêter sur chaque détail de leurs vies. Si une personne professe d’être un chrétien et ne vit pas ouvertement dans le péché, le pasteur peut accepter son témoignage.

Chaque personne qui est vraiment sauvée a reçu l'expiation que la communion représente, même si elle n’est pas membre d'une église locale particulière. Par conséquent, l'affiliation à une église ne devrait pas être une exigence pour la communion.

Un vrai converti est qualifié à la fois pour la communion et le baptême. Il ne devrait pas attendre après son baptême pour recevoir la communion, s'il est disposé à être baptisé.

Si une congrégation est composée de chrétiens et d’inconvertis, et peut-être des gens qui vivent évidemment dans le péché, la communion ne devrait pas être servie à l’ensemble de la congrégation. Elle doit être programmée à un moment différent pour ceux qui devraient la recevoir.

► Quelles sont les raisons pour lesquelles la communion ne devrait pas être servie à un pécheur reconnu?

► À quel rythme temporel que la communion devrait être servie d’après vous? Expliquez vos raisons.

Il y a des églises qui servent la communion chaque semaine. D’autres la servent une fois chaque mois. Quelques-unes la prennent une fois l’an. D’autres églises y participent rarement et n’ont pas un moment spécial fixe pour y prendre part.

La Bible ne nous dit pas quand faut-il servir la communion exactement.

Certaines personnes, avant leur conversion, croyaient dans des rituels salvateurs. Une fois sauvés et laissant cette forme de religion, elles peuvent être inconfortables avec tous sortes de rituels religieux. Elles peuvent penser que la communion ne devrait pas être faite régulièrement.

Il arrive que les églises qui ont un style d'adoration non orthodoxe ne comprennent pas la valeur des rituels.

Il existe aussi des gens qui placent incorrectement leur foi dans le rituel. Ils veulent avoir fréquemment la communion parce qu'elle les aide à se sentir sauvés.

Il est important pour le pasteur de prendre parfois du temps pour expliquer la signification de la communion. Il doit aider ses gens à comprendre comment doivent-ils utiliser la communion comme une bénédiction dans leur relation avec Dieu sans en avoir une idée erronée.

► Qui a le droit de servir la communion?

La Bible nous dit que chaque croyant est un prêtre (Apocalypse 1:6, 1 Pierre 2:5, 9). Ce qui signifie que nous pouvons adorer Dieu directement et aidons les autres à l'adorer. Aucun médiateur terrestre n’est nécessaire pour nous amener vers Dieu, parce que Jésus est notre souverain sacrificateur, et il nous y a donné l’accès (1 Timothée 2 : 5, Hébreux 4 ; 14-16). Par lui nous pouvons offrir continuellement des sacrifices d’adoration.

Puisque chaque croyant est un prêtre, nous pouvons raisonner que n’importe lequel peut servir la communion a un autre croyant, spécialement dans une situation ou le pasteur n’est pas disponible. Toutefois, il y a des raisons pour lesquelles la communion devrait être servie ordinairement sous la direction du pasteur.

La Bible ne déclare pas directement que la communion devrait être servie seulement par le pasteur. Cependant, Paul a laissé des directives spéciales pour servir la communion d’une manière ordonnée et respectueuse. Ces directives étaient destinées à l’assemblée, et le leader était responsable de la guider. Les membres de l'église compteraient naturellement sur le pasteur pour que la communion soit administrée correctement, et le pasteur devait prendre cette responsabilité.

► Lisez encore les avertissements donnés dans 1 Corinthiens 11:27-34.

Paul souligne que les avertissements étaient importants à cause du respect pour le corps et le sang du Christ. Si un membre est insouciant il en sera coupable. Des jugements sous forme de la maladie et de la mort frappaient déjà beaucoup de chrétiens de Corinthe. Paul a dit que s’ils étaient prudents pour s’examiner, ils seraient épargnés du jugement de Dieu. Et il leur a promis de leur donner d’autres directives supplémentaires à l’avenir.

C'est important de partager correctement la communion, non seulement pour éviter le mal qui découle des mauvaises utilisations, mais pour obtenir les avantages que Dieu a réservés pour nous.

C'est raisonnable de croire que l'apôtre espérait que les leaders de l'église aient mis en pratique ces directives au sein de leur assemblée. Et les membres auraient voulu que leur pasteur les aide à partager correctement la communion à cause de son importance. Par conséquent, la communion n'était pas quelque chose devant être faite par des groupes isolés les uns des autres dans l’espace.

Le pasteur est aussi spécialement responsable parce que la communion ne devrait pas être servie à un adepte d’une autre religion ou à un pécheur reconnu comme tel.

En conclusion, la communion devrait être servie par le pasteur ou son assistant. Le pasteur peut demander à d'autres membres de l’aider dans un service de communion. Il peut aussi accorder l'autorisation à quelqu'un de servir la communion à des gens en son absence.

Le rassemblement: Il devrait y avoir une façon judicieuse pour réunir ceux qui partageront la communion. Si elle est servie dans un service d’adoration public, les leaders doivent savoir comment serviront-ils les concernés.

La lecture des Saintes Écritures: Avant la distribution de la cène, des portions de l’Écriture doivent être lues. On peut brièvement commenter la lecture également. Ces passages bibliques peuvent être utilisés: Matthieu 26:26-30, Marc 15:22-28, Luc 22:14-20, Jean 10:11-18, Jean 19:1-6, Jean 19:16-19, Jean 20:26-29, 1 Corinthiens 11:23-26, Hébreux 10:11-17, Hébreux 9:24-28, Hébreux 4:12-16, Apocalypse 1:12-18, Esaïe 53:1-5, ou Esaïe 53:6-12.

La prière: Quelqu'un devrait conduire en prière. Sa prière devrait inclure des déclarations similaires à celle-ci: « Seigneur, nous te remercions pour le salut que tu nous as donné par le sacrifice de Jésus. Nous te remercions pour la grâce que tu nous donne généreusement. En partageant cette communion ensemble nous témoignons que nous dépendons de toi pour la vie spirituelle. Nous démontrons l'unité que nous avons ensemble en tant que croyants. Nous te demandons de nous accorder la grâce de vivre pour te plaire tous les jours.»

La distribution du pain: Le pain peut être distribué par le pasteur ou par des gens désignés. Il peut dire : «ce pain représente le corps du Christ qui a été meurtri pour notre salut.» L'assemblée entière doit rester tranquille et respectueuse pendant la communion. Dans certaines églises, le pasteur demandera aux gens de manger le pain ensemble après que tout le monde l'ait reçu. Dans d’autres églises, la coutume est que chaque personne mange le pain quand elle le reçoit.

Prière: Le pasteur ou quelqu'un qu'il choisit pourrait dire une courte prière qui remercie Dieu pour sa grâce.

La distribution de vin: Le pasteur peut dire : « Ce vin représente le sang de Jésus qui a été versé pour notre salut.» Certaines églises distribuent des tasses individuelles. D’autres passent une tasse unique à l’assemblée. Dans certaines églises, chaque personne trempe son morceau de pain dans le vin. L’important est qu'il soit fait d’une manière ordonnée et respectueuse.

Prière: Le pasteur ou quelqu'un qu'il choisit pourrait conduire une prière d'adoration.

Cantique: L’assemblée pourrait chanter un cantique ensemble.

(1) La communion vient de la célébration de la Pâque chez les juifs.

(2) La Pâque a illustré l'expiation que devait accomplir Christ.

(3) Le pain et le vin sont des symboles du corps et du sang de Jésus.

(4) La communion ne donne pas le salut au participant.

(5) La communion peut donner une grâce à la personne qui la reçoit avec foi dans l'expiation du Christ.

(6) La communion ne devrait pas être servie à des pécheurs ou des adeptes d'une autre religion.

(7) Le pasteur doit s’assurer que la communion est servie correctement.

1. Avant la prochaine séance d’étude, l'étudiant doit écrire un paragraphe sur les “sept déclarations sommaires” (un total de sept paragraphes). Le paragraphe doit expliquer le sens et l’importance de la déclaration. L'étudiant doit rédiger ses paragraphes comme s’ils étaient destinés à quelqu'un qui n'est pas dans la classe. Puis il les remettra au moniteur.
2. Devoir d’interview: L'étudiant doit interviewer trois croyants sur ce que la Communion signifie pour eux. Il doit écrire un bref résumé de leur réponse.
3. Important: En se basant sur ce cours, l'étudiant doit projeter d’organiser trois séances d'enseignement pour des gens qui ne sont pas dans la classe.