Lesson 3: Le travail

Au terme de cette leçon, l’étudiant devrait :

(1) Être en mesure d’expliquer les enseignements de la Bible relatifs au travail.

(2) Cultiver les caractéristiques de l’éthique chrétienne liées au travail.

Lawrence, un humble moine qui vivait dans un monastère au 17ème siècle, devint célèbre pour avoir réalisé par amour pour Dieu des tâches très modestes – comme éplucher des pommes de terre, faire la vaisselle, etc.- et pour avoir appris à ne jamais arrêter de penser à la présence de Dieu. Dieu était au centre de toute sa vie et de ses entreprises.

La Pratique de la présence de Dieu est un livret qui a été lu par des millions de gens. Ce livret contient des entrevus et des lettres écrits par Lawrence. Il a écrit: «Notre sanctification ne dépend pas d’un changement d’affectation dans nos tâches, mais elle consiste à faire pour Dieu ce que nous faisons ordinairement pour nous. »

►Qu’est ce que le travail? Le travail est-il uniquement un emploi – se faire embaucher pour réaliser un ouvrage?

 Le travail ne se résume pas seulement à un emploi ; il englobe l’action de prendre soin de soi-même et des autres, de gérer ses possessions, de produire des biens, d’entreprendre une activité lucrative, d’aider les autres gratuitement.

►Le chrétien doit-il travailler? Pourquoi?

Plus d’un pensent qu’ils mèneraient une vie plus agréable s’ils disposaient suffisamment d’argent leur dispensant de travailler. L’existence humaine leur serait plus agréable en menant une vie de loisirs.

Pensez à la façon dont Dieu a créé le monde au commencement. Tout était parfait. Les premiers humains que Dieu avait créés vivaient dans un environnement parfait. Malgré cela, Dieu avait assigné des tâches à chacun d’eux. Dieu aurait pu concevoir le monde pour qu’il réponde à tous les besoins de l’homme sans qu’il ait à travailler, mais il ne l’a pas fait. Dieu savait que la meilleure des vies nécessite le travail.

Dieu avait prévu que le travail serait essentiel aux relations humaines. Les hommes doivent apprendre à coopérer, à cultiver l’interdépendance, à être honnêtes les uns envers les autres, à accompagner les faibles, à relever les défis ensemble, à surmonter les désaccords, à corriger les erreurs, à apprendre et à former les autres.

Dieu accorda à l’homme l’autorité et la responsabilité de gérer, de dominer et de faire prospérer la terre pour sa gloire. Cette mission est à l’origine de l’agriculture, de l’élevage, de la métallurgie et de la maîtrise de la technologie. Car Dieu nous a créés supérieurs aux autres êtres en nous accordant une partie de sa nature. Il est écrit au Psaume 8 :6-8 :

« Tu lui as donné la domination sur les œuvres de tes mains, Tu as tout mis sous ses pieds, les brebis comme les bœufs, Et les animaux des champs, les oiseaux du ciel et les poissons de la mer, tout ce qui parcourt les sentiers des mers. »

Mais le péché a tout changé. Le travail s’accomplit désormais avec peine et frustration; deux éléments négatifs qui ne faisaient pas partie du plan originel de Dieu. Il est toutefois important de reconnaitre que l’homme a été fait pour le travail.

Le travail est similaire à l’œuvre de création de Dieu. C’est une action de transformation sur l’environnement. Le but du travail ne se résume pas seulement au fait de gagner sa vie. On partage tous le désir de transformer notre environnement. On peut citer en exemple la volonté d’améliorer notre habitat ou de nous débarrasser des ordures. Celui qui refuse de travailler s’affranchit de l’instinct et de la capacité de changer son environnement. Il a donc renié une partie de son humanité.

► Que pensez-vous à la vue d’une maison ou d’une cour mal entretenue?

La tendance humaine à créer, planifier, organiser et produire du travail fait partie de l’image de Dieu dans l’homme. Par conséquent, tout travail est sacré aux yeux du chrétien, et est un acte d’adoration quand il est accompli à la gloire de Dieu (Colossiens 3:17, 23). Jésus a dit qu’il travaille autant que son Père (Jean 5:17).

Il ne faut pas concevoir le travail comme un mal nécessaire, tel un remède amer à prendre pour se soigner d’une maladie. Le travail n’est pas seulement nécessaire à la survie, il fait partie du dessein de Dieu pour l’humanité.

Le travail est un devoir universel selon 2 Thessaloniciens 3:10 : « Car, lorsque nous étions chez vous, nous vous disions expressément: Si quelqu’un ne veut pas travailler, qu’il ne mange pas non plus. »

Que devons-nous faire si notre travail semble insignifiant? Mahatma Gandhi a dit : «Ce que vous faites peut paraître sans importance, mais il est très important de le faire.» Prenons l’exemple d’un agent de nettoyage dans une entreprise. Ce poste peut avoir l’air insignifiant, mais cet employé fait un choix judicieux. En choisissant de faire ce travail au quotidien, il renonce à l’oisiveté et à l’improductivité, et assume la responsabilité de sa personne en guise de finir en parasite vis-à-vis de ses amis ou de sa famille. Il peut également subvenir aux besoins de ceux qui dépendent de lui, comme sa femme et ses enfants, sans les obliger à quémander leur pain. Toutes ces considérations laissent comprendre qu’il n’est jamais infructueux d’accomplir un travail même s’il a l’air insignifiant.

 Qu’en est-il de ceux qui ne peuvent travailler? Ils ne sont pas si nombreux les gens de cette catégorie. Et le fait de ne pas avoir un emploi formel n’empêche pas la réalisation d’une activité qui soit utile à la communauté.

Ayant le devoir de prendre soin de lui-même et de soutenir les autres, le travail n’est pas une option pour le chrétien. Personne ne peut s’attendre à ce que les autres le prennent en charge alors qu’il refuse de travailler.

La première responsabilité du croyant est sa famille. « Si quelqu’un n’a pas soin des siens, et principalement de ceux de sa famille, il a renié la foi, et il est pire qu’un infidèle » (1 Timothée 5:8).

Par ailleurs, la Bible recommande au croyant de travailler pour pouvoir soutenir les personnes en difficulté. « Que celui qui dérobait ne dérobe plus; mais plutôt qu’il travaille, en faisant de ses mains ce qui est bien, pour avoir de quoi donner à celui qui est dans le besoin » (Éphésiens 4:28). Il faut noter que le texte met en opposition celui qui dérobe, qui s’empare des biens d’autrui et celui qui travaille en vue de donner librement. Le chrétien ne s’abstient pas seulement du vol mais il travaille pour avoir de quoi donner.

Les gens sans un emploi formel peuvent aussi accomplir un travail. Ils doivent apprendre à saisir les opportunités offrant la possibilité de servir et d’assister les autres. Il est mieux de vivre ainsi que de mener une vie oisive et de se plaindre du fait que personne ne vous assiste.

Un croyant doit travailler pour subvenir à ses besoins et ceux de sa famille, et pour avoir de quoi donner à ceux qui sont dans le besoin.

►Que diriez-vous à quelqu’un affirmant qu’il ne travaille pas parce que Dieu prend soin de lui?

Imaginez que vous visitez votre jardin à la fin de l’été et vous découvrez qu’il est en grande partie couvert de tomates, de maïs, des haricots et d’autres légumes en abondance prêts à être récoltés.

Ce serait un miracle, pensez-vous ? Mais cela est arrivé à des milliers de gens l’été dernier. Ils ont trouvé tous ces produits et même plus en visitant leur jardin. Mais ils n’étaient nullement surpris, car quelques mois auparavant, ils avaient préparé le sol, semé des graines, arrosé les plantules et arraché les mauvaises herbes. Ainsi, le moment de la récolte n’était point pour eux une surprise.

Vous pouvez répliquer: « Mais ça n’a rien d’un miracle ! » Je vous répondrais que Dieu fait pousser des millions de plantes, alors que l’homme n’a jamais fait pousser pas même un seul. Le Psaume 104: 14 dit: « Il fait germer l’herbe pour le bétail, et les plantes pour les besoins de l’homme, afin que la terre produise de la nourriture. » L’homme ne fait que préparer le sol en l’ensemençant et en l’arrosant si nécessaire, mais c’est Dieu qui a tout fait.

Plus d’un envisagent les miracles divins comme des faits insolites, des violations de la loi naturelle similaires aux guérisons opérées par Jésus ou à l’immobilisation du soleil. Selon cette vision des choses, la croissance des plantes ne relève pas du miraculeux, car c’est un processus tout à fait ordinaire.

Alors que nous chérissons les miracles nous négligeons souvent les moyens classiques de l’intervention de Dieu. Des millions de gens ne récoltent rien dans leur arrière-cour aujourd’hui parce qu’ils n’avaient pas agi conformément au processus divin relatif à la production de la nourriture. Lequel processus est l’un des moyens classiques de l’intervention de Dieu. Par exemple, le moyen classique par lequel Dieu pourvoie aux besoins de l’homme est le travail. Proverbes 14 :23 nous enseigne que « tout travail procure l’abondance…», et Proverbes 19 : 15 avertit que « l’âme nonchalante éprouve la faim ».

Plus d’un souhaitent bénéficier quelque chose de Dieu, mais ils refusent d’accepter les emplois qui ne correspondent pas au poste de leur rêve. 

Que faire lorsqu’on est au chômage involontairement? On peut toujours se mettre au service de la communauté d’une façon au d’une autre, et grâce à ce travail, certains besoins personnels seront satisfaits. Si vous êtes au chômage, vous avez du temps. Pourquoi n’essayez-vous pas d’identifier un domaine où vous pouvez aider quelqu’un d’autre de votre entourage?

Imaginez un chômeur qui ne fait rien et passe tout son temps dans l’inaction. Est-ce parce qu’il n’a rien d’utile à faire ? Certains de ses voisins ont certainement besoin d’aide. Il se peut que la cour de sa maison ou la rue qu’il habite a besoin d’être nettoyée, qu’il ait un jardin à ensemencer, qu’il ait des livres à lire pour augmenter son savoir ou des gens nécessitant de la prière. Le chômeur fainéant a un employé : lui-même ; mais cet employé ne produit rien ni ne se développe. Il n’est pas un bon employeur non plus, et ne sera pas en mesure de gérer d’autres employés.

La majorité des gens ayant vécu sur cette terre n’ont jamais été embauché par quelqu’un. Mais ils vivaient des produits qu’ils fabriquaient ou des services qu’ils offraient. Dieu se sert de tous ces moyens pour pourvoir à nos besoins.

Les principes de responsabilité et d’honnêteté constituent un cadre de référence en matière d’éthique du travail.

► Comment le chrétien employeur peut-il appliquer les principes bibliques?

Le Nouveau Testament fait des recommandations aux ouvriers. Au moment de sa rédaction, la plupart des ouvriers étaient esclaves. Mais de nos jours, le statut d’un employé diffère nettement de celui d’un esclave en ce que celui-là peut à volonté changer d’emploi. Il est libre d’accepter ou de refuser les conditions d’embauche. Cependant, s’il accepte les termes d’un contrat, il est tenu selon la Bible de les respecter tant qu’il travaille pour le compte de cet employeur.

Vous pouvez vous trouvez dans une situation de travaux forcés et que vous n’avez pas d’autres choix. Il faut malgré tout vivre en tant que chrétien. Dans les situations de travaux forcés, les ouvriers expriment leur mécontentement en travaillant lentement ou maladroitement. En agissant ainsi, ils montrent qu’ils ne sont pas libres. Si l’on veut agir librement, il faut accomplir convenablement sa tâche avec joie. C’est alors que l’on assume son statut d’être libre, car personne ne peut forcer un individu à bien réagir dans la souffrance.

Si personne ne vous embauche, vous êtes votre propre patron. Quel genre d’employé êtes-vous pour vous-même?

Éphésiens 6:5-8 – Le principe de responsabilité

► Qu’un étudiant lise Ephésiens 6:5-8 pour le groupe. Discutez de la signification de ce passage, puis lisez les commentaires ci-dessous pour compléter vos observations.

Quelques applications d’Ephésiens 6: 5-8:

1. L’ouvrier doit éviter toute forme d’insubordination envers son employeur que ce dernier soit présent ou non. Il ne doit pas non plus négliger les détails susceptibles de ne pas être l’objet d’une inspection (…non pas seulement sous leurs yeux…).
2. L’ouvrier doit en tout temps faire preuve de diligence et produire un travail de qualité comme s’il travaillait pour Dieu (…comme des serviteurs de Christ, qui font de bon cœur la volonté de Dieu …).
3. La bénédiction de Dieu est réservée aux fidèles ouvriers (« Chacun…recevra du Seigneur selon ce qu’il aura fait de bien »).

Tite 2:9-10 – Le principe de l’honnêteté

► Qu’un étudiant lise Tite 2:9-10 pour le groupe. Discutez de la signification de ce passage, puis lisez les commentaires ci-dessous pour compléter vos observations.

Quelques applications de Tite 2:9-10:

1. Les répliques aux instructions du patron doivent être formulées d’une manière révérencieuse (…à n’être point contredisants…). Quelles sont les conséquences possibles d’un propos irrespectueux adressé à l’endroit d’un patron?
2. Il est interdit de dérober son patron, même si l’on se croit exploité (…à ne rien dérober…).
3. L’ouvrier honnête rend un témoignage en faveur de l’évangile, alors que l’ouvrier malhonnête fait la honte de l’évangile (…afin de faire honorer en tout la doctrine de Dieu notre Sauveur…).

► Pouvez-vous donner quelques exemples de comportements malhonnêtes pouvant être affichés par un ouvrier?  Décrivez la conduite appropriée d’un chrétien.  

Les passages de Tite et Éphésiens traitent du devoir d’un employé envers son patron. Les principes évoqués s’appliquent aussi à une personne embauchée pour la fabrication ou la réparation d’un objet quelconque. Cette personne a le devoir de fournir le même travail qu’il aurait voulu recevoir de la part de quelqu’un d’autre. Et celui qui vend des produits qu’il fabrique n’a pas le droit de mentir sur les défauts des articles pour tromper les potentiels acheteurs.

Quelles sont les qualités recherchées par les employeurs chez les employés? Des recherches ont montré que les employeurs privilégient les personnes faisant preuve d’une attitude positive à l’endroit du travail. Généralement, l’attitude est priorisée au détriment de la formation et le talent. Comme nous l’avons déjà vu, la Bible montre que Dieu attache aussi de l’importance à l’attitude dans le travail.

Il faut aussi cultiver les qualités augmentant votre cote d’employabilité. Vous devez être prêt à servir, honnête, digne de confiance et persévérant. L’employeur ne vous embauche pas pour vous aider, mais pour s’aider lui-même. Par conséquent, vous devez être le genre de personne qui sait se faire utile.

Certains diraient: «Je serais sympathique, serviable et honnête si j’étais payé pour cela». Mais aucun patron ne saurait embaucher une personne hostile et la payer pour être sociable, ni un escroc pour en faire un homme honnête. Ils sont au contraire à la recherche des gens sociables, serviables et honnêtes.

Dans le milieu ecclésial, les choses sons différentes. On supporte les gens sans attendre qu’ils fassent preuve de générosité ou de sympathie, car Dieu nous a approchés et bénis avant que nous ayons accompli le moindre bien. Mais pour votre propre bénéfice, vous devez commencer par renvoyer l’ascenseur en apprenant à donner, à servir et à sourire.

Cultivez ces qualités en vous. Apprenez de nouvelles compétences en travaillant avec des gens expérimentés. Sous peu, vous serez capable d’offrir un service, fabriquer des produits vendables ou cultiver la terre. Il faut donc avoir un esprit de service, même si vous n’en bénéficiez rien pour l’instant. Dieu bénira votre service.

Que signifie servir ? L’acte de servir consiste à utiliser vos capacités, votre temps et votre énergie au profit de quelqu’un d’autre.

Que vous êtes employé ou non, vous allez devoir ignorer certains de vos droits et privilèges pour servir correctement. Si vous êtes employé par exemple, vous ne pourrez faire la grasse matinée autant que vous voulez ni disposer de l’horaire du travail à votre guise. Car vous avez renoncé à une partie de votre confort pour satisfaire les exigences de l’emploi. Même la façon de se vêtir et de traiter les autres est affectée lorsqu’on se fait embaucher.

Une disposition à servir présente de nombreux avantages, telles que:

1. La formation des relations enrichissantes et mutuellement bénéfiques. Parfois, la formation de ces relations se produit de manière imprévisible. Il faut donc éviter d’aider uniquement les personnes que l’on pense pouvoir nous aider en retour.
2. L’obtention de positions honorifiques dans l’église, le corps de Christ.
3. La multiplication de son cote d’employabilité.

Et si vous décidiez de changer votre mentalité et vous mettre au service de ceux qui en ont besoin? Jésus a dit: « Il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir. » Croyez-vous à ces paroles ? Vivez-vous comme vous le croyez?

Il existe un principe spirituel selon lequel il faut penser aux besoins des autres et ne pas se laisser absorber par ses besoins personnels (Philippiens 2: 4). Il y a aussi un principe pratique. N’oubliez pas que les patrons n’embauchent pas quelqu’un pour l’aider, mais parce qu’ils pensent que cette personne pourra satisfaire un besoin de leur entreprise. Par conséquent, celui qui cherche les faveurs inconditionnelles d’un patron bienfaiteur ne vaut peut-être pas la peine d’être embauché.

Les personnes disposées à travailler en récolteront le fruit tôt ou tard. Normalement ces opportunités inattendues ont l’air d’être des miracles, mais elles sont en fait le résultat de la méthode divine traditionnelle de vous faire vivre ses bienfaits.

Il est probablement une perte de temps de se mettre à attendre, à souhaiter ou même à prier Dieu pour un miracle si vous n’êtes pas disposé à travailler pour pouvoir bénéficier l’aide nécessaire comme Dieu aime l’accorder.

► Qu’un membre du groupe partage une histoire montrant comment un travail réalisé avec soin pour un patron a été profitable à la prédication de l’évangile.

► Qu’un membre du groupe partage une histoire montrant comment un service rendu à un voisin a été une bonne démonstration de la bienveillance chrétienne.

►Que les membres du groupe échangent des idées sur les opportunités disponibles pour une personne au chômage.

Père céleste,

Merci pour le privilège que j’ai de faire preuve de créativité dans le travail. Aide-moi à voir et à saisir les opportunités de servir mon prochain. Pourvoie à mes besoins alors que je travaille pour me prendre en charge ainsi que les autres.

Bénis-moi avec les ressources nécessaires pour que je puisse soutenir ma famille, faire des dons à l’église et aider ceux qui sont dans le besoin.

Aide-moi à être honnête et digne de confiance quant à mes engagements. Prépare-moi à de plus grandes opportunités et responsabilités si telle est ta volonté. Merci pour ta fidélité à mon égard.

Amen

(1) Étudiez ces textes tirés du livre des Proverbes:

• Proverbes 6: 6-11
• Proverbes 10: 4-5
• Proverbes 12:11, 24, 27
• Proverbes 13: 4, 11
• Proverbes 14:23
• Proverbes 18: 9
• Proverbes 20: 13
• Proverbes 22:29
• Proverbes 24:30-34
• Proverbes 26: 13-16.

Puis, à partir de ces passages, présentez en une page un ensemble de principes et d’applications sur le travail et la paresse.

(2) De concert avec un camarade de classe, préparez une brève présentation sur l’un des sujets ci-dessous. (Le titulaire de la classe attribuera un sujet à chaque équipe.) Vous aurez à présenter votre sujet au début de la prochaine séance.

• Le travail et l’image de Dieu dans l’homme
• Le travail et la responsabilité de sa personne et des autres
• L’éthique à suivre par l’ouvrier chrétien (Cette présentation doit se baser sur Éphésiens 6:5-8 et Tite 2:9-10.)
• La méthode traditionnelle de Dieu pour pourvoir aux besoins de l’homme
• Travail et relations humaines