Martin Luther avait décidé de devenir moine parce qu’il avait la conviction que la vie monastique offrait un cadre idéal pour mener une vie consacrée à Dieu. Les moines suivaient un mode de vie ascétique caractérisée par un régime alimentaire strict, le jeûne, la modestie vestimentaire, le renoncement et la chasteté. Mais Luther pratiquait de surcroît l’automutilation dans le but de dompter sa chair. Mais lorsque ses yeux s’ouvrirent sur l’évangile du salut par la grâce et la foi, il comprit que ni l’ascétisme ni l’automutilation n’était capable de le sauver. Il renonça à la vie monacale et épousa Katherine, une ancienne religieuse, avec qui il eut six enfants.
Introduction: Confusion à Corinthe
Plusieurs membres de l’église de Corinthe ne croyaient pas en la résurrection des chrétiens. Le corps, pensaient-ils, avait pour destination la tombe contrairement à l’esprit dont la destination finale était le ciel.
Une partie de ces membres disaient: « Puisque le corps finira par mourir et être jeté, il importe peu l’usage qu’on en fait maintenant. Les comportements libertins ne sauraient être illégitimes car le corps est pratiquement inutile. »
D’autres opposants de la résurrection disaient: « Le corps est destiné à la corruption parce que ses désirs sont mauvais. Il ne sera plus nécessaire au ciel. Puisque tous les désirs charnels sont impurs nous devons donc les réprimer en évitant les mets exquis, les vêtements somptueux et même les relations sexuelles. Nous devons traiter durement notre corps jusqu’à ce que nous le quittions.
Étant fondées sur une hérésie, ces deux conceptions étaient fausses. Dans 1 Corinthiens 15, Paul expose la pertinence de la doctrine de la résurrection.
Bien qu’il soit juste de prioriser le spirituel sur le matériel, le corps matériel affecte le spirituel. Dieu nous a créés en tant qu’esprits certes, mais des esprits vivant dans des corps physiques. Nous ne sommes pas de simples animaux, mais nous ne sommes pas non plus des esprits vivant temporairement dans un corps.
La consécration à Dieu
► Qu’un étudiant lise 1 Corinthiens 6:19-20 pour le groupe.
Il est dit dans ces versets que notre corps appartient à Dieu parce qu’il nous a rachetés. Le corps est le temple du Saint-Esprit ; il ne doit pas être livré au péché. Au contraire, il doit être entièrement soumis à Dieu.
► Qu’un étudiant lise Romains 12:1 pour le groupe.
Ce verset affirme que notre corps doit être saint, car il est la propriété de Dieu. L’adoration que Dieu veut de nous est une obéissance complète.
Nous ne pouvons pas servir Dieu de manière cohérente si nous sommes contrôlés par les convoitises du corps. Tout péché d’habitude est une dépendance.
Imaginez un animal qui a deux maîtres. L’un des maîtres lui donne des ordres, mais il ne peut obéir parce que l’autre maître l’a enchaîné. Le maître qui tient la chaîne conduit l’animal où il le veut. L’animal peut aimer davantage le premier maître, mais il ne peut lui obéir. Voilà à quoi ressemble une dépendance. On peut bien vouloir servir Dieu, mais la chaîne de dépendance nous en empêche constamment.
Les dépendances et la plupart des péchés endommagent le corps et l’esprit. Puisque le corps appartient à Dieu et doit être mis à son service, il est un péché de l’endommager. Le passage de Romains nous convie à offrir notre corps en sacrifice à Dieu, mais nous ne pouvons pas le faire si nous n’en avons pas le contrôle.
► Qu’un étudiant lise 1 Corinthiens 9:24-27 pour le groupe.
Votre corps est un excellent serviteur, si vous le gardez sous contrôle. Mais s’il devient incontrôlable, il devient votre maître. Et le corps est un très mauvais maître. Paul a dit qu’il n’acceptait qu’aucun désir ait le dessus sur lui (1 Corinthiens 6:12).
► Qu’un étudiant lise Romains 6:13 pour le groupe.
Le corps est comme une boite d’outils, des outils se trouvant sous votre emprise. Mais vous ne devez jamais utiliser ces outils pour le péché mais pour Dieu.
Les désirs naturels
Certains pensent que le péché est inévitable en raison de la présence des désirs dans l’homme. Il est vrai que nous sommes nés avec une nature pécheresse qui nous incite à pécher. Cette nature comprend non seulement les désirs physiques mais aussi des convoitises et une volonté portés vers le péché. Celui qui n’a pas été régénéré par l’Esprit de Dieu ne peut s’empêcher de pécher, bien qu’il puisse résister avec succès à certains types de péchés. Un pécheur qui n’a pas expérimenté la grâce de Dieu peut croire qu’il ne pourra jamais avoir une vie de victoire spirituelle.
Les désirs naturels ne sont pas le problème. Bien au contraire, ils sont l’œuvre de Dieu. Adam en avait avant sa désobéissance et sa chute dans le péché. Ces désirs sont inhérents à la nature humaine. Ils ne sont pas des péchés, mais ils aplanissent la voie pour la tentation.
►Pouvez-vous citer quelques désirs naturels?
Sans prétendre être exhaustif, le tableau suivant présente quelques désirs naturels ainsi que la manifestation correcte et la forme pécheresse de ces désirs. Il convient de souligner les désirs naturels ne sont pas nécessairement des désirs de la chair. Ils sont naturels parce qu’ils découlent de la nature humaine, mais ils ne sont pas tous intrinsèquement charnels.
Désires naturels
Manifestation correcte
Péchés potentiels
L’auto-conservation
Prendre des précautions
La lâcheté
Le désir d’être reconnu
S’habiller élégamment
Faire preuve de courtoisie
L’orgueil
La jalousie
Les besoins physiologiques
Manger, dormir ou avoir des relations sexuelles dans le mariage
Les excès
La vie sociale
La communion et l’association
La médisance Le snobisme
Le confort materiel
La recherche de l’aisance
La paresse
Le matérialisme
La sécurité financière
Économiser et investir
La cupidité
Les malversations
►Y a-t-il un désir naturel auquel il faut toujours obéir?
Aucun désir naturel ne doit avoir le dessus dans notre vie. D’ailleurs, il n’existe aucun de désir naturel auquel on peut obéir aveuglément en toute sécurité. Car le désir ne se limite pas seulement aux choses qui nous sont permises. Par exemple, la sensation de faim ne fait pas de distinction entre la nourriture personnelle, la nourriture d'une autre personne, ou la nourriture que l’on ne peut pas s’offrir.
Il y a des moments où l’on doit même refuser une satisfaction légitime à un désir. Ce n'est pas parce qu'une personne a faim qu'elle peut voler la nourriture d’autrui. Il est naturel d’aspirer au repos, mais parfois une personne devra travailler même si elle est fatiguée. Fuir le danger est un acte naturel, mais il est un devoir de résister à l'envie de fuir lorsqu’on est responsable de la protection de quelqu'un d'autre.
Les désirs naturels peuvent être tellement déformés et mal orientés qu'ils épousent des formes contre nature et inhumaines. C'est pourquoi certaines personnes commettent des actes d’une extrême perversité ou cruauté. La déformation des désirs est due à/aux: 1) un enseignement incorrect, 2) une vision utopique du monde, 3) un environnement malsain, ou 4) actes de péché de l’individu.
Puisque le chrétien porte en lui des désirs, la tentation le visitera inévitablement. Même si la grâce n’annule pas la pression des désirs, elle accorde au croyant le pouvoir de se maitriser et de convertir ses désirs en de nobles aspirations.
Les désirs naturels rendent les disciplines spirituelles nécessaires pour maintenir la victoire spirituelle. La grâce ne dispense pas de la nécessité d'obéir aux injonctions de la Bible, d’assister au culte, de garder le corps dans la soumission, de prier et d’étudier la Bible. Un croyant qui souhaite sérieusement marcher dans la victoire spirituelle peut aussi se fixer des limites en fonction de ses faiblesses.
La tentation peut avoir l’air gratifiante, mais si l’obéissance à la volonté de Dieu reste le désir le plus profond du cœur, le croyant finira par la vaincre (1 Jean 5:3). Il n’estimera avoir rien perdu. Par la foi, il sait que Dieu n'interdit rien qui ne soit mortel, même s'il ne voit pas ce qui rend cet interdit si mortel (Deutéronome 6:24). Par la foi, il sait que rien de contraire à la volonté de Dieu ne saurait le satisfaire, car sa satisfaction est en Dieu (Psaume 16:2, Psaume 84:11).
Régime alimentaire et exercice
►Que dit la Bible concernant la nourriture?
Les interdictions bibliques en matière d'alimentation sont peu nombreuses. Les restrictions alimentaires de l'Ancien Testament ne sont pas valables pour les chrétiens du Nouveau Testament (1 Timothée 4:4, Marc 7:19). Si la question de la nourriture offerte aux idoles y est abordée, ce n’est pas parce que la nourriture en soi est mauvaise, mais parce qu’elle était servie dans un contexte idolâtre (1 Corinthiens 8), et certains frères en mangeaient.
Les aliments sont essentiels à la santé et la vitalité humaines. Nous, les serviteurs de Dieu, devons prendre toutes les dispositions nécessaires pour être en bonne condition physique en évitant les habitudes ou les régimes alimentaires qui abiment l’organisme ou raccourcissent notre vie. Nombreux sont ceux qui n’ont pas trop de choix en matière de régime alimentaire, hormis les aliments disponibles qu’ils peuvent se permettre. Toutefois, ils ont pour devoir de faire les meilleurs choix possibles et apprendre à leurs enfants à faire de même.
Parfois les gens préfèrent s’offrir des aliments couteux à leur goût qui ne sont pas nécessairement nutritifs. Nombreux sont ceux qui dépensent beaucoup d’argent dans des aliments malsains. Certains éprouvent toutes les peines du monde quand il s’agit de payer un livre de formation au ministère, alors qu’ils dépensent toutes les semaines la même somme dans les sucreries et les boissons gazeuses.
L’exercice physique est nécessaire pour rester en bonne santé. On ne devrait pas se trouver dans l’incapacité d’accomplir l’œuvre de Dieu en raison d’une négligence de l’exercice physique. Lorsqu’on exerce un métier qui requiert d’intenses activités physiques, on n’a pas vraiment besoin de faire des exercices supplémentaires, mais de se discipliner pour garder le corps en bonne santé.
Puisque le corps du chrétien appartient à Dieu, le croyant ne doit jamais négliger de soigner son régime alimentaire ni de faire de l’exercice. Mais la Bible ne fournit aucune indication précise sur ces deux éléments. Le chrétien doit lui-même discerner comment il pourra appliquer le principe de la consécration à Dieu à sa propre situation, tout en évitant de juger et de critiquer les autres, car on ne peut en faire une règle pour la vie spirituelle à moins qu’un groupe de gens s’y conviennent.
► Qu’un étudiant lise Romains 14:4 pour le groupe.
Les principes bibliques doivent être appliqués de manière stricto sensu. Toutefois, il faut éviter de juger quelqu’un qui applique différemment un principe dont l’Écriture ne précise pas le mode d’application.
La guérison physique miraculeuse
► Qu’un étudiant lise Romains 8:18-23 pour le groupe.
La maladie est une conséquence de la malédiction qui a frappé la création après la chute des premiers humains. Le plan de salut de Dieu finira par restaurer la création et mettre un terme à la souffrance. Toutefois, ce passage indique que cette restauration ne se fera pas dans l’immédiat. Même si le chrétien est déjà sauvé, son corps est sujet au vieillissement et à la maladie jusqu’à l’aboutissement du plan de salut de Dieu.
Mais Dieu ne cesse d’opérer des miracles dans le monde. De nombreux miracles de guérison sont relatés dans la Bible ; et Dieu promet de guérir en réponse aux prières de foi de l’Église (Jacques 5:14-15). Il n'est pas nécessaire que le malade ait la foi pour sa propre guérison ; l'Église peut avoir la foi pour lui. Il ne faut donc pas accuser quelqu’un qui souffre de manque de foi.[1]
Par ailleurs, il faut éviter de croire qu’un véritable chrétien ne peut tomber malade. Bien que Job ait été fidèle à Dieu, le Seigneur a permis qu’il souffrît physiquement pendant un certain temps (Job 2:8).
Dieu a permis que Paul souffrît d’une « écharde dans la chair ». Laquelle écharde devait le garder humble et dépendant de Dieu. À trois reprises, l’apôtre a prié pour en être délivré, mais il a finalement compris que Dieu voulait lui communiquer la force pour persévérer plutôt que la guérison (2 Corinthiens 12:7-9). Peu de choses se savent sur la nature de cette «écharde dans la chair», mais il parait qu’elle causait de terrible souffrance physique à l’apôtre.
Paul souffrait aussi dans son corps alors qu'il évangélisait les Galates (Galates 4:13-15). Apparemment, ses yeux étaient endoloris. Selon les dires de Paul, l’amour que les Galates avaient pour lui les disposait à s’arracher les yeux pour les lui donner s’ils le pouvaient. On ignore si l’apôtre a obtenu la guérison par la suite, mais il est évident qu’il ne l’a pas eu sur-le-champ. Paul n'enseignait pas que la maladie ne peut visiter le chrétien et les Galates ne croyaient pas non plus que la maladie de l’apôtre contredisait l’Évangile qu’il prêchait.
► Qu’un étudiant lise Philippiens 2:25-30 pour le groupe.
Épaphrodite avait frôlé la mort à cause d’une maladie qu’il avait contractée alors qu’il assistait l’apôtre Paul. Selon l’apôtre, les hommes comme Épaphrodite qui se sacrifient pour la cause de Christ méritent d’être honoré.
Les expériences de Job, de Paul et d’Épaphrodite montrent qu’il ne faut jamais juger les personnes malades comme des gens de peu de foi, ni supposer qu’elles souffrent en raison de leur péché. Dieu seul connait la cause de la souffrance d’une personne. De nombreux fameux croyants qui avaient une foi hors commun, ont été la cible de la maladie pendant de longues périodes.
La Bible n’interdit pas au chrétien d’avoir recours aux traitements médicaux. Même si nous prions pour la santé et la guérison, il n'est pas un péché d’avoir recours à l’aide médicale.
Toutefois, il est un péché de consulter des guérisseurs prétendant tirer leur pouvoir de la magie ou des esprits démoniaques. Nous ne servons pas Satan ; il ne nous doit rien. Notre loyauté appartient à Dieu ; nous devons donc nous contenter de ses bénédictions. S'il choisit de ne pas nous guérir, prions pour qu’il nous accorde la grâce et la force de lui rester fidèles.
[1] Jésus a guéri un paralytique en raison de la foi des amis de ce dernier (Marc 2:5).
Les substances nocives
Plus d’uns consomment des substances nocives pour se donner du plaisir. Ces stupéfiants illégaux dans de nombreux pays, affectent négativement le corps et l’esprit et provoquent une dépendance.
Une dose excessive de l’alcool par exemple affecte les perceptions d'une personne et la pousse à avoir des comportements étranges. L’alcool est hautement addictif et provoque des problèmes de santé. Il est très prisé dans les cercles de divertissement mondains. La Bible n’interdit pas la consommation de l’alcool, mais de nombreuses églises l’interdisent parce qu’il est une substance addictive et il affecte le comportement, le jugement et les mœurs. Certains chrétiens soutiennent que même la consommation saine et rationnelle de l’alcool peut influencer négativement les autres, notamment les jeunes.
► Qu’un étudiant lise Proverbes 20:1 et 31:4-5 pour la classe.
La consommation régulière du tabac crée une dépendance, tend à raccourcir de plusieurs années la vie de l’individu et augmente les risques de cancer.
La Bible n'interdit pas noir sur blanc la consommation des stupéfiants, de l’alcool ou du tabac. Mais la nature nocive de ces produits pousse les chrétiens à s’en abstenir. Ce qui n’a pas toujours été le cas ; ces produits étaient tolérés en certaines régions et époques lorsque l’on ne disposait pas trop d’information sur leurs effets.
La nature toxicomanogène de ces substances reste le plus grand danger auquel est confronté le consommateur qui perd le contrôle de sa vie, dépense ses économies et cherche à justifier sa dépendance. Il consentit à faire des sacrifices qui entravent sa famille et sa carrière professionnelle. La dépendance exige une loyauté similaire à la dévotion religieuse et entre en conflit avec la loyauté envers Dieu.
L’apparence et la propreté
Le chrétien doit être toujours physiquement impeccable au regard des normes de propreté en vigueur dans sa culture. Il doit prêter attention à son odeur corporelle, la coiffure de ses cheveux et l’état ou la propreté de ses vêtements. Un pauvre peut éprouver des difficultés à soigner son apparence, mais il doit faire ce qu’il peut.
Il faut être à l’écoute des critiques des autres concernant votre apparence ou votre hygiène. Dans ce domaine, les parents doivent enseigner à leurs enfants de bonnes habitudes.
Les chrétiens ne doivent pas prendre pour modèle l’habillement et la parure en vogue dans le monde pour paraitre supérieurs aux autres. Mais une apparence négligée traduit souvent un manque de respect à l’égard de la société. Le fait de ne pas soigner son apparence pour une réunion par exemple, peut laisser croire que l’on ne valorise pas à juste titre ni la réunion ni les participants. Les chrétiens doivent honorer Dieu et soigner leur apparence en signe de respect à la société.
Ceux qui n’ont pas de priorités spirituelles et éternelles priorisent le corps et la parure extérieure d’une manière à attirer l'attention. Les hommes aiment exhiber leurs muscles ; les femmes aiment se faire belles aux yeux des hommes. Le chrétien doit éviter toute vaine parade ou se faire convoiter par son accoutrement.
Pour les débats en classe
Encouragez les étudiants à réfléchir à la manière dont leur consécration à Dieu doit entraîner des changements dans leur mode de vie.
► Comment vos habitudes prouvent-ils que votre corps appartient à Dieu?
Il faut éviter toute discussion visant à imposer des règles de régime ou des restrictions similaires comme des exigences imputables aux chrétiens.
► Pouvez-vous expliquer pourquoi vous ne consommez pas certaines substances?
Prière
Père céleste,
Je te remercie pour l’opportunité de vivre sur terre et la vie éternelle que nous avons reçues de toi. Aide-moi à vivre dès à présent entièrement pour toi mon Créateur et Rédempteur.
Aide-moi à vivre complètement séparé de tout ce qui peut entraver mon service et mon adoration envers toi. Merci pour le grand privilège que je sois le temple de ton Saint-Esprit. Je veux vivre d’une manière qui t’honore.
Amen
Devoir
(1) Répondez à chacune de ces questions dans un journal personnel. (Il n’est pas obligatoire de remettre ce journal au moniteur de la classe).
Vous êtes-vous entièrement consacré à Dieu ? Comment comprenez-vous la consécration?
Quels sont les désirs naturels qui vous font succomber le plus à la tentation?
Pouvez-vous trouver deux ou trois passages bibliques que vous devez mémoriser pour surmonter systématiquement ces tentations?
Quels changements Dieu vous a-t-il ordonné de faire alors que vous étiez en train d’étudier cette leçon?
(2) Étudiez 1 Corinthiens 15. Divisez ce chapitre en sections plus petites selon le ou les sujets abordés. Rédigez un paragraphe expliquant le message de chacune des sections. Quelles exhortations pratiques peut-on tirer de ce chapitre?
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